Deux ans déjà,

Pour toi Jacques

nous ne t'oublions pas

Tendre pensées pour Ninie.

Un père n’est pas celui qui donne la vie, ce serait trop facile,

un père c’est celui qui donne l’amour.

La violence des forts 
[ Denis Lord ] 

Papa,

Un jour tu nous as quittés… Des larmes de douleur en mes yeux ont coulé
La mort d’un papa est une grande blessure dont l’enfant ne se remet jamais.

Cette douce prière est pour toi à qui je dois la vie et ce que je suis devenue.

Je te respectais, je t'admirais, je t'aimais, et je t'aimerai toujours.

Papa tu me manques tellement.

Aujourd'hui je veux rendre un vibrant hommage

à tous ces Jeunes gens

qui se sont battus pour notre Liberté,

et dont la plupart sont morts au champ d'honneur.

Que leur sacrifice  reste un exemple

pour ne plus jamais revoir cela.

Honneur et Patrie à tous.

Je  rends hommage aussi

à mon Papa, qui dès les premières

heures de l'attaque allemande

a demandé son affectation 

dans une unité combattante.

Voilà un extrait de l'oraison funèbre 

qui lui a été faite lors de ses obsèques.

Mon Papa était Commandant de Brigade de Gendarmerie

et à sa retraite il fut élu Maire de la Ville.

Je t'aime Papa.

Le Monastère

(photo et source Wikipédia)

À l'origine de ce « village-monastère », aux toits aigus et ceinturés de falaises blanchâtres,

se trouve encore « l'Hébrardie » rencontrée à Cajarc sur le chemin de Compostelle principal.
C'est au XIII^e siècle qu'Aymeric d'Hèbrard, seigneur de Cajarc et Evêque de Coïmbre au Portugal,

finança l'installation au « Val du Paradis » d'un nouveau prieuré,  

le couvent primitif, plus bas dans la vallée, tant condamnée par l'inondation.
Il y eut des nonnes, - une centaine de chanoinesses augustines -

aussi un "chemin des Dames" longe les vestiges de diverses époques.
Ravagé par la guerre de Cent Ans, le couvent se releva de ses ruines et ne fut désaffecté qu’à la Révolution.

L'église est en croix latine, à nef unique,

avec un chœur composé d'une abside semi-circulaire voûtée en cul-de-four

précédée d'une travée droite voûtée en berceau en plein cintre.

La nef est partiellement voûtée en berceau en plein cintre.

Elle était peut-être entièrement charpentée à l'origine.

La tribune de l'extrémité occidentale est moderne.

L'église est mentionnée pour la première fois en 1256

quand elle  est unie au prieuré Sainte-Eulalie,

qui appartenait à l'abbaye de la Couronne, au couvent de Val-Paradis d'Espagnac.

L'édifice étant antérieur, il pourrait dater de la fin du XII^e siècle ou du début du XIII^e siècle.