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    Une magnifique visite de cette ville .

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Flâner dans le vieux quartier, permet de saluer la statue de Cyrano, de faire une halte Place Pélissière, ancienne place des marchands de peau. Et toujours dans ce centre ville, bien restauré, en descendant vers la Dordogne, on peut admirer, l'église Saint-Jacques, entièrement reconstruite au XVII° siècle. découvrir également le Musée du tabac installé dans un ancien hôtel particulier du XVII° siècle, le cloître des Récollets construit en 1630, qui abrite aujourd'hui la maison des Vins de Bergerac et le Musée du vin ,de la batellerie et de la tonnellerie consacré à l'histoire de cette ville, de son fleuve et de son vin. Profitez-en aussi pour passer la porte du musée du tabac. Il est unique en France.

     

    C un beau roman ...   26

    Extrait de Cyrano de Bergerac

    Un baiser, mais à tout prendre, qu'est-ce?
    Un serment fait d'un peu plus près, une promesse
    Plus précise, un aveu qui peut se confirmer,
    Un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer;
    C'est un secret qui prend la bouche pour oreille,
    Un instant d'infini qui fait un bruit d'abeille,
    Une communion ayant un goût de fleur,
    Une façon d'un peu se respirer le coeur,
    Et d'un peu se goûter au bord des lèvres, l'âme!

    Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac, Acte III, scène 10

     

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

     

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

     

    Ville charnière entre Bordeaux et l'arrière pays périgourdin et corrézien, la "cité de Cyrano" grandit au fil des siècle au rythme du développement de son activité portuaire. Au XVIII° siècle elle accueillait en moyenne 1.500 mouvements de bateaux par an.

    La plus grande partie de son activité consistait à expédier les vins de la région à destination de Bordeaux. L'arrivée du chemin de fer en 1875 entraîna le déclin du port. C'est autour de ces deux activités, très liées, que la population de la vallée a vécu. Tout le quartier bas s'était développé grâce à ces échanges qui ont fait jusqu'au 19° siècle, la richesse de la ville. Le port revit, de nos jours, grâce à une activité culturelle importante.

    De son passé prospère, la cité conserve de nombreux témoignages dans sa partie historique. Le promeneur découvrira de nombreuses maisons à encorbellements et colombages le long de ses rues et ruelles. (source http://nicole.rolin.pagesperso-orange.fr/prehistoire/Pages/Bergerac.htm

     

    Un petit tour à Bergerac (dordogne)

    Bergerac (Brageirac en occitan[1]) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Aquitaine. C'est la deuxième ville du département en population, légèrement moins peuplée que la préfecture Périgueux. Chef-lieu de l'arrondissement de Bergerac et de deux cantons : Bergerac-1 et Bergerac-2, c'est l'une des trois sous-préfectures du département.

     

    Page d'histoire du S.O.    13/14 juillet


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    bon week-end

    Un petit rien, c’est dire bonjour A ceux que l'on rencontre et aux amis.

    C’est presque rien et c’est facile, Cela rend la vie bien plus jolie.

    Un petit rien, c’est dire merci A celui qui vous rend service.  

    C'est presque rien, un mot de courtoisie Qui rend heureux celui à qui il est dit.

    Un petit rien, c’est un sourire A distribuer sur son chemin

    C’est presque rien, mais c’est beaucoup.

    Cela rend heureux et c’est contagieux. Un petit rien, c’est dire je t’aime Aux personnes que l’on aime.

    C’est presque rien, c’est important. L’amitié aussi s’entretient chaque jour.

    Ces petits riens sont peu de choses, Mais ils illuminent notre journée

    Ils donnent envie de partager le bonheur, Et cela ... ça n’a pas de prix !

    FLEUR 

     

     Ici, peut-être l'écrivain public ?

      

    Le Roi et son garde du corps.

     

    La chambre restaurée à l'ancienne.  

    La Robe de la Reine, sûrement.  

    Celles-ci lui appartiennet aussi ou peut être à ses dames de compagnie.  

     Une tapisserie d'Aubusson. 

    Cette pièce est en restauration, pas tout à fait terminée.

     


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  • Ici, la salle d'armes avec différentes armures et blasons.

    Les différentes épices et herbes comestibles, tel que l'anhet, la sauge, le thym, le serpolet etc...

    Ces récipients en gré se nomment des toupines.

    La cuisine avec la cheminée  "Lou Cantou" en occitan

     

    Vous ne pouvez le deviner, mais ce charmant Monsieur aurait bien envie de déguster

    un peu du contenu des trois tonneaux, et vous ?

     

    Le Château, situé 50 mètres en contrebas du Causse, domine de 100 mètres la vallée du Cruou, contrôlant un des deux anciens accès à Salles La Source. Des sources alimentaient le puits du château. Les prés en pente formaient sur trois côtés un glacis qui exposait les attaquants aux tirs des défenseurs. L'abreuvoir et le vivier compliquaient l'approche du château. Les meurtrières, créées pour les arcs furent adaptées aux arquebuses, car la fonction de défense se prolongea jusqu'aux guerres de religions. On supprima les mâchicoulis et l'échauguette et on baissa les toits quand le château perdit sa fonction militaire. La cuisine a gardé sa cave, sa grande cheminée et son potager, chauffés par les braises. Dans une des salles seigneuriales restaurées, on voit des fragments de fresques. La restauration de l'escalier du donjon rétablira l'accès au magnifique colombier.


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