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Maison de la tour à l'emplacement du donjon primitif (1203), maisons de granit sur l'ancien rempart, portes de la cité, le "portail-haut" et le "portail-bas" où restent visibles gonds, herses, archères et blason de la cité, nobles demeures avec fenêtres à meneaux et caves voûtées le long de la "Rue-Longue", église Saint Martin à la riche statuaire (statues et chaires polychromes, statue et relique de Saint Martin ...), "Carrierons", petites ruelles pittoresques à l'atmosphère si particulière, constituent les principaux atouts de la cité dont l'architecture circulaire
traduit le caractère militaire de ses origines....
La Trompette de Jéricho est également appelée Jasmin de Virginie, "Bignone" et "Jasmin Trompette".
Le plus fréquemment on la nomme Jasmin de Virginie
C'est donc sous ce dernier titre que vous retrouverez sa description complète, comportant notamment les conseils de culture.
Elle est originaire d'Amérique du Nord.
Très vigoureuse, la trompette de Jéricho apporte une note exotique et ensoleillée au jardin.
Elle est bien adaptée à tous les jardins, même ceux des villes car elle supporte bien la pollution.
Grimpante et de croissance rapide, elle habille les murs,les pergolas, les tonnelles…
Elle possède des crampons qui lui permettent d'escalader les supports facilement, il faut simplement l'aider au démarrage de sa végétation.
Elle peut également être cultivée dans un grand bac et être installée sur une terrasse ou un balcon, mais sa floraison sera amoindrie.
Une fois bien implantée, la trompette de Jéricho offre une floraison exubérante avec des fleurs qui se renouvellent sans cesse pendant d'été.
Ses fleurs, en forme de longue trompette,sont mellifères et attirent les insectes.
Des oiseaux sont également tentés par les fleurs des trompettes de Jéricho et plus particulièrement les colibris qui accèdent facilement à leur cœur grâce leur long bec effilé.Tu écoutes la chaîne heurter la paroi
Quand le seau descend dans le puits qui est l'autre étoile,
Parfois l'étoile du soir, celle qui vient seule,
Parfois le feu sans rayons qui attend à l'aube
Que le berger et les bêtes sortent.
Mais toujours l'eau est close, au fond du puits,
Toujours l'étoile y demeure scellée.
On y perçoit des ombres, sous des branches,
Ce sont des voyageurs qui passent de nuit
Courbés, le dos chargé d'une masse noire,
Hésitant, dirait-on, à un carrefour.
Certains semblent attendre, d'autres s'effacent
Dans l'étincellement qui va sans lumière.
Le voyage de l'homme, de la femme est long, plus long
que la vie,
C'est une étoile au bout du chemin, un ciel
Qu'on a cru voir briller entre deux arbres.
Quand le seau touche l'eau, qui le soulève,
C'est une joie puis la chaîne l'accable.(Yves Bonnefoy)
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Les maisons en granit et aux toits de lauze.
Le petit pont de bois,
mais pas de rivière !
La Cour d'une maison , joli n'est-ce pas ?
- Le Bourg, médiéval, typique du sud Cantal, construit de pierres de granit et couvert de tuiles canal ou de lauzes. Il subsiste deux portes médiévales qui donnent accès à la rue Longue, et une poterne. Le bourg a gardé sa typologie de l'époque médiévale, avec un parcellaire très serré, et des petites ruelles, les carrieroux.
L'Auberge de la Tour.
Loin des bruits de la ville, j´irai jusqu´en Auvergne
pêcher la truite à l´ombre d´un sapin
Dans la rosée fraîche du matin
Loin des bruits de la ville, dans une vieille auberge
Tout paraît simple et tout paraît plus beau
Quand on s´éveille au chant des oiseaux
Dès que je serai là-bas
Ne me téléphonez pas
Je veux oublier la vie
Quelques jours loin de Paris
Mais si vous passez par là
Venez vous reposer chez moi
Vous verrez qu´il est bien joli
Ce pays
Loin des bruits de la ville, j´irai jusqu´en Auvergne
Sur les collines couvertes de bruyère
On a tous les parfums de la terre
Loin des bruits de la ville, dans une vieille auberge
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Merci à tous mes amies (is) pour vos coms.
La suite après ma pause ,
nous n'avons pas terminé les peintures,
et nous avons encore eu un décès, mon beau-frère de Bergerac.
Dans mon coeur il était plus mon frère que mon beau-frère.
L’ameublement intérieur est de style baroque des XVIIe et XVIIIe siècles ; il est particulièrement beau. Il a été pour la plus grande partie offert par les familles de Marcolès.
Venez, entrez c'est superbe !
L’église Saint Martin de Marcolès est l’ancienne chapelle du Prieuré bénédictin dépendant de l’abbaye Saint Géraud d’Aurillac. Edifice gothique du XVe siècle, elle comprenait à l’origine une nef comprise entre un clocher situé au couchant et une tour de défense édifiée au Levant.
En 1656, le clocher menaçant ruine, fut reconstruit sur la tour de défense. Au début de la Révolution il fut démoli car il ne devait pas dépasser le toit de l’édifice devenu temple de la raison. Il sera reconstruit en 1801.
(Photo Wikipédia - Merci à l'auteur)
Marcolès était selon la tradition une des plus anciennes localités d’Auvergne. C’était à la fin du IX° siècle un des « alleux » de Saint-Géraud (1), comte d’Aurillac, une de ses possessions exemptée de toute redevance. En 1203, cette cité close était une possession de l’abbaye d’Aurillac par suite de l’abandon de ses droits par Astorg III, seigneur de Conros(2) à Arpajon.
Durant la guerre de Cent Ans, Marcolès et ses faubourgs auraient été saccagés par les anglais, sauf le centre et le fort, comme l’indique son cachet moyenâgeux conservé. Les incursions des bandes qui désolèrent la France sous le règne de Charles VI (1380-1422) n’épargnèrent pas la cité. Suivant un titre mentionné par M. RAULHAC, il semblerait que l’on y cultivait la vigne, car, au XVI° siècle, le prieur payait annuellement à l’abbé d’Aurillac deux pipes de vin. Lorsqu’en 1569 on augmenta les bonnes villes du haut-pays pour porter leur nombre de six à dix,
Marcolès fut du nombre des quatre qui furent ajoutées
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