• Bonjour

    Bonjour

     

    Bonjour

    POUR MOI ...

    Bonjour

    ce petit billet de la part de Nicole ...
    Son intervention chirurgicale s'est bien passée
    mais elle est pour 1 mois dans une maison de repos
    et doit rester couchée sur le dos .
    Elle lira vos messages mais ne pourra pas vous répondre
    vous le comprendrez aisément .

     

    Bonjour

     

    Bonjour

     

    Bonjour

     

     

     manou33


    22 commentaires
  •   

    BLOG EN PAUSE POUR UN MOIS MINIMUM

     

    Périgueux, un patrimoine sauvegardé dans un écrin de verdure 

    Préfecture du département de la Dordogne, Périgueux est une capitale culturelle et touristique labellisée « 4 fleurs », au cœur du Périgord blanc.
    Ville aux dimensions humaines, elle offre aux visiteurs un cadre de vie alliant patrimoine historique gallo-romain, médiéval et Renaissance. Reconnue Ville d’Art et d’Histoire*, Périgueux possède 53 Monuments historiques inscrits et classés, trois musées classés Musées de France dont deux municipaux. Cette station touristique du sud-ouest ancrée dans le passée est aussi résolument tournée vers l’avenir,

    de nombreux rendez-vous culturels témoignent de sa vitalité tout au long de l’année.

    Ci dessous le lien si vous désirez connaître l'histoire d Périgueux

    (Histoire très intéressante)

    http://perigueux.fr/bienvenue-a-perigueux/537-histoire-de-la-ville.html


    6 commentaires
  • Image du Blog chezmanima.centerblog.net

     

    Image du Blog chezmanima.centerblog.net

    Image du Blog chezmanima.centerblog.net

    Image du Blog mamietitine.centerblog.net

    trois Rois Mages bien dirigés
    par une étoile du berger,
    dans la crèche ont déposé
    des présents pour le nouveau-né.

    pour fêter cet évènement,
    dans chaque foyer tous les ans,
    on célèbre L'Epiphanie
    autour d'un bon gâteau exquis.

    Quelle soit briochée ou fourrée,
    cette couronne bien dorée,
    cache dans un de ses morceaux
    une fève au dessin bien beau.

    celui qui pourra la trouver
    sera roi pour une journée,
    et choisira une fiancée
    qui sera reine à ses côtés.


    amis(e) gourmands(e), rassurez-vous,
    ce gâteau si bien décoré,
    pourra toujours se déguster
    durant tout le mois de Janvier.

     

    Image du Blog mamietitine.centerblog.net

    Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Cela permettait de resserrer les affections domestiques et donnait au « roi d’un jour » le pouvoir d’exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant d’être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile à l’issue de celle-ci. Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service (d’où l’usage toujours vivant de « tirer les rois »). Tacite écrit que, dans les fêtes consacrées à Saturne, il était d’usage de tirer au sort la royauté[3]. Étienne Pasquier a décrit dans ses Recherches de la France[4] les cérémonies qui s’observaient en cette occasion : « Le gâteau, coupé en autant de parts qu’il y a de conviés, on met un petit enfant sous la table, lequel le maitre interroge sous le nom de Phébé (Phœbus ou Apollon), comme si ce fût un qui, en l’innocence de son âge, représentât un oracle d’Apollon. À cet interrogatoire, l’enfant répond d’un mot latin domine (seigneur, maître). Sur cela, le maître l’adjure de dire à qui il distribuera la portion du gâteau qu’il tient en sa main, l’enfant le nomme ainsi qu’il lui tombe en la pensée, sans acception de la dignité des personnes, jusqu’à ce que la part soit donnée où est la fève ; celui qui l’a est réputé roi de la compagnie encore qu’il soit moindre en autorité. Et, ce fait, chacun se déborde à boire, manger et danser. »

    C’est cet usage qui est passé jusqu’à nous. On en retrouve la trace non seulement dans le rituel de la galette des Rois, mais aussi dans la fête des Fous médiévale et des « rois et reines » des carnavals actuels.

     

    Image du Blog chezmanima.centerblog.net

     

     

     

     

     


    16 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires